mercredi 14 juillet 2010

Samuel-Promthée V. - IV

"Cela bousculait ses croyances révolutionnaires, le courage de tuer, le droit de tuer. Était-ce donc qu'il fût lâche?"

Alors comme il en fut depuis des millénaires les bons se questionnent alors que les mauvais agissent dans le plus total des chaos sanglants
À se poser toujours les mêmes phrases pièges de la faiblesse de vouloir apprendre

Telles les immenses batailles de la survivance
On sait deux choses
Sous les flambeaux ardents des accusateurs erronés
la bête brillante se demande son mal et pleure avant de brûler comme une sorcière
tandis que
la créature sourde frappe de tous ses poils les voisins rudes et leurs flammes atroces

Et menacé du CroMagnon
Je me sais différent dans mes remise en question toujours qu'il n'a pas
Et mon ivoire ivre gagne la popularité de celui qui a raison
Alors que sa femme Esclova se sable-mouvante dans ses périlleuses dences théâtrales

"C'est rien de bon pour toi, eux." - Ma mère

Mais j'en doute et me questionne et je grandis et je réfléchis
À savoir profondément pourquoi et comment l'ingnatiable se meut en mal
À s'arracher l'érpiste

"La différence, c'est que j'aime pas ça, moi, envoyer chier les gens"

Au creux (au fond)
la différence
c'est que moi
j'aime
et je suis aimé

- PV

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