Libora - I (Un poème qui est un parc)
La distance laconique de toi, par moi s'étend
Elle arrivera avec l'hiver et sera en doul-heures qui font grandir
- c'est ce parc immatériel qui servira de rédemption
- - c'est comme ton rire franc, mais en arbres imaginés et en fleurs
Parce que c'est facile avec toi, je me difficile volontairement de poétiser
[par voulance de te grandir plus que mes autrefois amers]
Ces rimes vertes comme rictus premier, j'en veux plus que pour Ée
Comme tant toujours tellement qu'il me faut
- plus intense
Qu'il me faut
- plus érudit
Qu'il me faut
- plus grand, plus répété, plus.
Gouluement tes langues que j'avalerai pour me gaver
Avant la froide tempérance du temps séparé de toi
Toujours ces notes d'en attendant
Après la fin de te voir souvent
Et je crierai
- PV
lundi 30 novembre 2009
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