On m'a demandé de commenter, de commenter, commandé de commenter.
Il y avait des gros au début, partout, des gros junkie, des grosses en farine, des gros paumés, des grosses anorexiques : grosses dans leur tête.
- Je croyais.
Finalement, des filles qui s'époumonent à arracher les paroles, de l'énergie partout qui jompe sans arrêt, des jeunes qui s'allument de joint; je croyais rêver. Jamais je n'aurais crû que les jeunes savaient autant Jomper. Puis j'ai réalisé; je suis rendu vieux.
Pas que je sois trop vieux pour aller danser, non. Simplement : je ne suis pas né la bonne année. J'aurais dû être 4-5 ans plus jeune. Parce qu'eux, les jeunes, les vrai, ils ont la rage dans le coeur, ils ont tout à cracher, rien à garder, ils ont la pauvreté à arracher, n'arracher, va chier! Et Puis ça se lance dans les airs comme ça s'envoie en l'air partout sur un banc de parc et miam.
J'ai espoir qu'avec cette éducation de mornitude latente,
matante,
les jeunes, la jeunesse,
ivresse
de jour de l'an,
va se révolter vivement.
J'ai espoir d'un grand écran garoché de sang,
d'une étoile d'un rouge éclatant!
Ah oui, Leloup? Oui, bah, il est venu, il a joué de la guitare, j'aurais fumé, moi aussi, un petit joint qui passe devant, puis POUF, disparait; la sécurité veut nous enfermer. Il a joué de la guitare, ganganganganganganganga-yé! Des solos trop long, et il changeait tout le temps de guitare, et c'était comme quand le soleil se couche : je pourrais passer mon temps à vous l'expliquer, mais ce ne sera jamais aussi beau que de le regarder.
Comme il est grand le chef des indiens, comme il est grand.
- PV
dimanche 8 novembre 2009
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