Premier message de novembre, il est 2h30 du matin, l'halloween est terminé.
Ce soir, j'ai compris que je ne suis pas fait pour la société, fondamentalement inapte à bien m'y comporter, un peu comme si la bienséance, pour moi, était le feu dans la rip des souries qui trottent dans ma tête, et j'en devient fou.
Oh, Il y a les mâles qui sont beaux, on les regarde quand leur assurance est fidèle, et elle l'est. Les femmes sont à leur cous, c'est si facile pour eux, je suis jaloux.
Oh, il y a aussi les mâles faibles, laids, grossiers, qui harcèlent sans cesse les pauvres belles qui n'ont pas le courage d'aller montrer leurs petits seins aux mâles qui sont beaux.
Et les femmes, mi victimes, mi vipères, qui font toutes un peu pitié à leur manière.
Moi, je n'ai ni assurance, ni dépendance, ni seins. J'ai ma main sur laquelle je dessine, j'ai mon écran pour écrire, et une peine cyclique qui frappe ce soir comme ça faisait longtemps.
Dehors, novembre.
- PV
dimanche 1 novembre 2009
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