mardi 6 octobre 2009

Partisan

Avili, Avril et une menace qui disparait. Des sommes et les calculs me blasent. Je, je, je, reste ici, las, assis si simplement et si longtemps, tout le temps. La belle au dos endurcie et suave, dormante, et douce délibérée qui me crie de l'aimer.

J'ai peur chaque souffle de la perdre de vue, de la manquer, de crier et de l'effrayer. J'aurais tellement d'idées pour la charmer, la côtoyer, et extirper de ses doigts fous, son rire acajou et de poils roux, des peintures multicolores pour mes toiles blanches.

Elle me manque, Ça me manque, vous me manquez aussi; Oui, toi aussi.

- PV

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