Tup Tup Tup Tup.
Je n'ai jamais écris sur mon blog si tard, c'est la musique qui m'y oblige. Je n'ai pas le droit de jouer de la guitare, ici, voyez-vous. Cloitré. Emmuré. Et je pense à lui aussi, mon grand héron.
J'ai la larme facile aussi, je dois être vraiment fatigué, de courir après celles qui ne me rendent rien, de courir après les notes que je ne peux ce soir.
Boule-de-gomme qui ne devient jamais un homme.
J'ai envie de tout lancer au bout de mes bras, comme des crissement de pneus qui goutent le caramel, comme le métal explosé et l'essence froissée dans une musique de libération, comme au naturel, mais non.
Le seigneur a dit : "elle répondra comme les autres, et alors tu sauras ce que tu as toujours su [...]" et je coupe ici. Ceux qui savent de quoi je parle compléteront cette citation.
Mes orgasmes vides se multiplient, j'ai mal au co-eur de les voir s'envoler comme autant de monarques dépossédés. À quand le retour de mes jouissances bouillies qui virevoltent en nuée multicolore dans ma tête? Merde.
Bonne nuit, mon demi-dieu, ma catéchumène, mes iris floraux.
mercredi 28 octobre 2009
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