mercredi 6 janvier 2010

Asynchrone

Asynchrone confort, tu es maniante de mes mémoires plus comme un pic[pé] niché plus grandiose; un scandinave-buché où s'immolent fervemment un toi sous moi ment-globe-banc et des trompettes.

[¸,,,¸..¸ finirai-je un jour pollinisateur habile de mes gouts sur tes ravins dorés?]

{le con-fort me pervertit}

Et tel un orateur acharné, je grivoise des idées mortes-nez en odeurs manquantes : l'histoire; le grand semble laid aux yeux avares, mais la verve toujours sait rame-nez l'olfaction par les vagues rudes.
Mon verbe se harde en attendant L'INNARIVABLE qui émoustille mes moustaches auditives : le son et le frottement [air{cordes vocales} hmmmm] et plaqué contre un mur et vlan le muscle plus fantasmé que {...} qui s'enfonce miraculeusement vers la gorge (sur laquelle un adolescent se fait jouir à répétition) plus volubile toujours.
plus volubile et vorace qui noircit dans ma tête de toc et je veux [te] voir.

^ Je n'ai pas écrit comme ça depuis
et c'est comme si
^ Je n'ai pas écrit

lis. lis.

- L'incestueux

2 commentaires:

  1. mais à qui donc adresses-tu tant de hardiesse? Pourquoi en avoir transposé un extrait sur ma page?

    Nul besoin, je crois, de signer ce commentaire

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  2. à toi, même si tu ne liras jamais ce commentaire.

    Personne ne le fera, je l'écris donc dans ma tête.

    je t'aime, toujours.

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