le ventre en cônes oranges, éperdu gamin
je songe sombre à moi, comme un moulin sans vent
qui ne moud pas, je suis mou
là las j'attends le glas
les alcools devenus silencieux
personne ne parle plus de ma vie
j'ai le ventre qui se laboure qui se bétonne
mon amour seule chante mes iris
entre deux de ses saouleries et de ses mutilations
me voilà bien bas, bien bas
aux larmes sans éclat
mercredi 4 septembre 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire