le vent est rond
les moments tournent
la belle est beau
ma Zà' théâtre
aux accorde graves méticuleux
zen Zàeen désireuse
des douces douves où nous baignons
nus naïfs nous abusons
des recoins neufs
du château ville
c'est nous qui est fort
et nos murailles ne se grimpent
qu'en accord à nos accords
symphonie dans notre Bastion
serait-ce l'heure de mon retour?
Perdre son charme comme un adulte nez saignant
ma toison de foyer Flambe en titubements
chaque épinette de mon nord pelage
s'ombre ; le passé s'endre l'ébène
en afrique je m'éveille
aux côtés d'un Soldat dépareillé
Sammy ne me voit pas il semble se laver
de quelque chose
-- - l'histoire m'est connue
;``
.,.,.,.,.
le Feu parti bientôt
dit-on qu'il fait pousser mieux
les mêmes choses qu'avant