ta yeule avec tes yeux doux qui me disent que tu m'aimes
ta yeule avec tes in-con-sistences qui me font sentir poète
ta yeule de gueule noire qui de famine s'insurge
ta yeule de ces immensités que tu te voudrais à toi
ta yeule ton adolè-sens comme si tu avais raison
ta yeule de tes mots sur blancs et ta mémoire ardue aride adulée devant les anciens grands comme si tu n'étais rien
ta yeule encore en série toujours que je ne t'ai pas dit depuis longtemps, toujours longtemps
ta yeule le matin, le soir, l'hiver et tard, radin, maux estivaux ou automnaux
ta yeule dans un verre de bière, dans une botch de cigarette - qui pue - dans une poff ganjée que j'ai peur de dire à ma mère
ta yeule pendant les circonstances d'un mariage ou des premières larmes d'un des Trois Grands de ta vie
ta yeule, tes compositions de marde, tes dé-compositions textuelles de marde de ton pays de marde, de ton amour de marde, de ton bleu de marde, de tes femmes de marde, de tes enfants de marde, de ta grandeur de marde, de ta marde de marde dans ton spliff
ta yeule ma gueule, arrête de pleurer, cesse de l'étouffer;
ma yeule a autre chose à dire que des larmes
- PV/MP/B7 le baptiste aux larmes bénies
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Qui a dit que t'écrivais mal?
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